Une globalisation Consciante
Année : 2015
Thème : Ce projet explore l’existence de discrimination et étudie l’empathie travers le programme de neuro langue ( PNL) dans les institutions scolaires et les entreprises.
Type : Analyse d'expérience : d'intervention, de formation, de recherche...
Auteur(s) :
MARCHAL GRIVEAUD Pascale (Luxembourg) – pmglux@gmail.com
Résumé :
La peur de l’inconnu et des autres communautés de notre Société mondialisée, font comme s’il existait une exclusion sociale naturelle. Cette discrimination crée des conflits. En accord avec les principes qui régissent les différents pays européens, il est apparu différentes solutions, à la présence élargie des immigrants.
Aujourd’hui les processus de globalisation concerne des communautés chaque fois plus diversifiée; analysés ils doivent permettre la création d’un système adapté et efficace, afin de donner une égalité d’opportunités. Et si l’éducation culturelle était une proposition de changement de combat contre la discrimination, une ouverture des consciences comme coopération et effort de tous (Bitti, 2009).
A travers le programme neurolanguistique PNL, nous tentons une nouvelle approche. Nous tentons de nous concentrer sur les similitudes. Nus souhaitions faire appel à l’intelligence émotionnelle ( QE) et non plus sur l’intelligence « logique » (ou QI) qui prend en compte que le langage et la logique mathématique. Nous voulons faire appel à l’intra et l’interpersonnel. Cette étude utilise la la PNL comme outil de communication, est ainsi innovante et permet de développer de meilleurs activités d’intégration des individus ou des différentes communautés dans les groupes de travail ou à l’école.
Cette approche des connaissances des divers terrains inter-relationnels communs, prétend développer une expérience subjective et un comportement objectif des individus. Le terme « programme » est basé sur la comparaison du mental comme un ordinateur, le cerveau étant le « hardware » et les pensées les « software ». la PLN tente d’analyse le mental et de le reprogrammer. (Ferreira, 2011). Le mot programme fait référence à l’ensemble de nos automatismes, qu’il s’agisse d’automatismes cognitifs, émotionnels ou comportementaux.
Chaque personne possède sa propre carte du monde – dont la fabrication est déterminée par l’architecture génétique et l’histoire personnelle de chaque individu. Il existe une interaction « neuro-linguistique » profonde entre le langage et nos modèles neurologiques du monde.
Cette activité est constituée d’images présentées par l’interlocuteur du groupe avec une enquète pour chaque participant. Les réponses écrites tiennent compte de la perception intuitive et le ressenti (émotions et sentiments ) que crée l’image présentée chez le participant. La première partie du jeu consiste à regarder l’image et à marquer d’une croix son ressenti négatif ou positif. Puis l’interlocuteur va expliquer l’image et les participants vont à nouveau écrire brièvement leurs émotions et marquer d’une croix son sentiment positif ou négatif. Ainsi il est possible d’analyser s’il existe une différence entre les relations à la perception initiale de l’image ( étape 1) puis à celle expliquée (étape 2). Les images représentes diverses thématiques qui intègrent la mondialisation: cultures et religions, liberté d’expression et information, pauvreté et environnement, discriminations,
Les résultats de l’étude avec les différences expérimentations sur des groupes en situation (écoles quartiers défavorisés de Lisbonne, entreprises ou professionnels au Luxembourg) montrent que les participants comprennent mieux la perception discriminatoire et sont sensibles à un changement d’attitude par conséquent. De la même manière on pourrait penser à créer une influence identique avec le même “modus operandi” en relation avec la perception pour créer des mécanismes d’intégration et de lutte contre la discrimination.
Mots clés :
Vivre ensemble, Crise urbaine, Cohésion sociale
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