IMMIGRATION DES FEMMES EN FRANCE ET EN ITALIE
Année : 2011
Thème : EXPÉRIENCES DES FRONTIÈRES
Type : Autre
Auteur(s) :
GAROFALO Sabrina (Italie) – sabrina.garofalo83@gmail.com
Résumé :
L'étude des femmes dans les migrations a mis en discussion catégories et idées qui ont été insuffisants pour la compréhension du phénomène. La base théorique de cette recherche est considérer les femmes dans leur parcours et non seulement comme immigrée ou émigrée. L'immigration des femmes dans les dernières années a changé la structure mondiale des flux migratoires en déterminant conséquences qu'ils pourraient définir "inattendues" des institutions et du pouvoir publie, comme par exemple les dynamiques liées à l'accès au travail, (Barazzetti 2007, Balbo 2008), et aux services, l'intégration des femmes seules (Schmoll 2009) et les liens entre traditions et modernité. La question générale qui a guidé la recherche est construite sur les nouveaux temps et les nouvelles places dans lequel les femmes entreprennent parcours et stratégies innovantes et modèle d'intégration. Objectif de cette proposition ce de contribuer au déconstruire l'image stéréotypée des femmes migrantes, en les reconnaissant surtout, comme femmes (Sayad 2002), à partir d'une approche intersectionnel qui met en relation la construction sociale des différences de genre, ethnicité et classe. La recherche a été menée en Italie et en France: ont été choisies deux régions frontalières ; la Sicile, sud de l'Europe et le Nord Pas de Calais, nord de l'Europe. En particulier on a prise en considération trois «places sociales»: le travail, les communautés et les associations, en considérant comme les femmes migrantes puissent mettre en pratique de manière individuelle ou collective, le passage entre les sphères privées et publiques. Dans le cas du travail, en particulier, à travers l'analyse du travail de soin, c’est possible mettre en relation le rangement national des politiques sociales avec les parcours des femmes. Les communautés deviennent l'endroit dans lequel, la création de capital social détermine le franchissement des difficultés dans le rapport avec les institutions, et l'élaboration collective du projet migratoire. Les différentes situations normatives entre les deux pays sont encore plus considérables dans le cas des associations, tandis qu'elles représentent l'endroit d'un type d'intervention qu'il influe dans les parcours des femmes. Par la recherche émerge que, les associations représentent la place sociale dans lequel les femmes migrantes vivent le rapport entre présent, passé et future, et elles permettent de faire front aux difficultés lié au procès migratoire. Les associations représentent le pont entre la sphère privée et publique à travers les dynamiques d'autonomisation de la femme migrante (Mezzouj 2008), et ce sont l'endroit de la création de capital social lié aux procès de reconnaissance individuelle et politique. Les associations sont l'instrument de participation politique, mais, qu'est-ce que nous entendons pour participation? C’est nécessaire, maintenait, repenser la participation comme un procès dans lequel, les différents acteurs sociaux arrêtent de travailler pour les migrants et ils décident de travailler avec les migrants. Un changement considérable de perspective surtout si on pense au cas italien. Un des résultats les plus importants de la recherche il se réfère à la Méditerranée, et en particulier aux parcours des femmes migrantes à l'intérieur de cette zone, à partir de l'idée de la Méditerranée comme un «espace migratoire». C’est donc possible, repenser modalité d'intervention qu'ils puissent reconnaître la femme comme actrice du propre changement et de ce des communautés dans les pays de départ et en ceux d'origine. En appliquant l'idée de double présence est possible d'élaborer modalité d'intervention qu'ils puissent impliquer les femmes en modalités intégrées avec les politique locales; encore, penser le méditerranéen comme espace migratoire permet d'atténuer les différences entre les traditions dans les pays d'origine et en ceux d'arrivée, en créant places troisièmes de connaissance réciproque et reconnaissance.
Mots clés :
Bonne pratique, Femmes, Solidarité, MIGRATION, RECONNAISSANCE
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