|
Résumé
Les méthodes narratives représentent une alternative efficace dans la relation d’aide que les travailleurs sociaux ont à établir avec les personnes âgées afin de les aider à s’intégrer dans les résidences et les nouveaux contextes où elles ont à développer leur projet de vie.
Laisser derrière elles leurs histoires de vie, leurs souvenirs personnels et familiaux afin de commencer une nouvelle vie dans un lieu « différent » de ceux qui leurs sont familiers déclenche, dans de nombreux cas, une crise personnelle, familiale et sociale.. qui, dans de nombreux cas, finit par être traitée en ayant recours aux spécialistes et aux médicaments.
Le travailleur social joue un rôle fondamental dans les changements provoqués par la prise de décision, de caractère personnel ou familial, d’aller vivre dans une résidence pour personnes âgées. Le premier contact avec le professionnel et l’institution est fondamental et est d nature à conditionner tout ce qui va suivre.
Travailler sur la base de la narrative personnelle de la personne âgée, en ayant recours aux compétences de l’intervention sociale en matière de communication, aidera le professionnel à mieux connaître et comprendre la situation sociale que la personne âgée traverse, ce qui lui permettra de réaliser un diagnostic et de tracer un plan d’intégration individuel dans la résidence.
Découvrir le sens de l’histoire personnelle et familiale narrée par les personnes âgées représente un facteur attractif susceptible de les aider à conférer plus de réalisme à leur histoire personnelle. Développer leurs narratives personnelles et familiales contribue à l’établissement d’une relation de confiance entre l’utilisateur et le professionnel, contribue à animer, libérer, revitaliser ou « traiter » l’individu afin d’établir une relation d’aide et de favoriser l’intégration dans un milieu qui, dans de nombreux cas, n’est nullement désiré.
Cette communication permettra de débattre le potentiel des méthodes narratives utilisées par les travailleurs sociaux afin de résoudre les problèmes concrets des individus et d’éviter la routinisation des pratiques professionnelles dirigées à des groupes vulnérables, grâce à la construction de liens entre la triade : professionnel, utilisateur et institution.
Mots clefs: méthodes narratives, travail social, personnes âgées
INTRODUCTION
Les personnes âgées adorent et vénèrent leurs histoires de vie personnelles. Beaucoup intervention collective SOCiLA travail souvent histoire personnelle est tout ce qu'ils ont et qui reste après les nombreuses vicissitudes de la vie.
De ce point de vue ce que nous pouvons faire pour aider les professionnels dans le processus de l'intervention sociale qui se établit entre le travailleur / une relation sociale et l'utilisateur / a. Désolé souvent un compromis de la dette interne. Peu à peu, nous nous rendons compte qu'il ya quelque chose de commun dans tous les cas que nous desservons en intervention sociale avec des groupes de personnes âgées et d'autres considérés comme «marginal» avec laquelle nous avons travaillé.
La préparation des entretiens à effectuer pour élaborer un plan de soins individualisé avec des questions, avec des objectifs ... mais quelque chose échoue dans certains cas parce que nous sentons que nous avons le besoin de raconter sa vie, son histoire personnelle, l'histoire de la famille,. .. ou, autrement dit, ils ont tous la nécessité d'être entendu / as.
Histoires personnelles
En accord avec Abels et Abels (2004, p. 66) «pratique narrative est efficace pour aider et aider les gens à reconstruire" la pratique narrative nous permet de reconstituer des histoires personnelles. La reconstruction d'une histoire personnelle implique la participation active et l'implication du sujet.
L'examen qui a lieu sur les événements extraordinaires qui ont eu lieu dans le passé comme Blanc et Epston (1993, pp. 69-70) "peut être identifiée par un examen historique de l'influence de personnes sur le problème. Vous pouvez leur demander de se rappeler «faits» ou des événements qui contredisent les effets que le problème a sur leur vie et les relations. Bien que ces événements sont vécus par les personnes touchées par le temps, ils se produisent, saturés problèmes empêchent souvent leurs histoires de vie attribuant de nouvelles significations à ces expériences. Ces événements extraordinaires dernières peuvent faciliter la création de nouvelles significations dans le présent, sens qui permettent aux gens d'aller en arrière et revoir votre histoire personnelle et de leurs relations ".
De ce point de vue de l'intervention, le travailleur social / examinera l'histoire et l'influence qu'elle a sur le problème posé. Pour histoires "saturés", pleine de drame et les problèmes comme le blanc et Epston auteurs (1993) indiquent pas permettre un apprentissage ou d'établir nouveau modèle différent de la vie vécue. Ils examiner son histoire personnelle dernière atteindre de nouveaux sens attribué le présent et le présent, ces significations qui leur permettra de réinterpréter les événements étant le protagoniste de son diagnostic.
Selon Vidal (2009, p 142.) "Une première caractéristique du récit: le récit est précisément la situation de dire quelque chose et cette situation comprend tous les acteurs impliqués, le contexte et les événements qui a amené à ce point." Narrative travail social, nous permet d'analyser la personne, le contexte, les événements et les interactions qui se produisent entre eux.
Selon Delage (2010), une activité de travail narratif qui permet de relier, de représentation, de donner un sens à l'histoire et se applique à tous les membres individuels ... Le récit est important en travail social et de la intervention sociale permettra antécédents de travail, la composition, la structure, le contexte et la façon dont l'adversité est expérimenté et représenté par ceux qui sont impliqués. Narrative travail social pour trouver le sens des choses et de l'avenir que les gens veulent.
Liée à ce qui précède, le sentiment personnel que chaque personne regarde et se produit dans l'histoire de sa vie est fondamental de continuer sur le chemin de la vie, à aller de l'avant en laissant derrière les échecs, les difficultés, les aspirations, ...
Quand on / a chercher et trouver un sens à ce qui se produit sont mis en place certains mécanismes personnels que les gens ont. Ces mécanismes instinctifs, innées ou acquises sont ce qui rend l'individu enveloppé dans un manteau de la résistance à l'adversité.
Walsh (1998) estime que le système de croyance de la famille est la clé de la résilience de la famille.
Ces croyances partagées comprennent donner un sens aux difficultés de la vie, avoir une attitude positive sur les difficultés, et de partager un sens de la transcendance et de la spiritualité de la vie.
Ces significations personnes, les familles font les faits seront les aider à trouver un sens à ce qui leur arrive, en supposant que les faits «normal» ou «naturel» de la vie quotidienne. Pour tenir compte de ces faits comme une partie naturelle de la vie, les gens, les individus, groupes ou communautés ont parfois besoin de renforts par des professionnels pour les aider à assembler les pièces comme si ce était un casse-tête.
Selon Cyrulnik (2006, p. 27) estime que donner un sens ce qui est arrivé est le facteur de protection le plus important et que «la possibilité de revenir sur les lieux où les affections sont, activités et des mots que la société ont occasions autour du blessé, fournit des lignes directrices résilience qui lui permettra de poursuivre le développement altéré par la plaie ". La tâche du travailleur / a sociale dans l'intervention est de chercher et de trouver «l'autre personne», ce est au sein de chaque / a, ce est à dire, trouver un sens, trouver le côté positif que nous avons tous et que nous sommes en mesure de développer malgré les difficultés.
De ce point de vue des professionnels d'intervention doivent rechercher le changement et «enseigner» que des changements sont possibles. Il de la peur du changement est important de travailler dans le processus d'intervention pour intégrer les nouveaux changements dans la vie de la / l'utilisateur / le travail social, de se adapter à de nouvelles situations.
Élaborant sur cet aspect, le message à transmettre dans cette perspective narrative travail social est que les possibilités sont dehors et attendent un message positif à un moment important dans la vie des personnes.
Le, le sentiment appuyé compris, un mot d'encouragement et de soutien, le soutien du professionnel ou, à sa juste place dans l'intervention sociale sur les faits qui sont racontés, sans aucun doute aider à être des éléments importante de protection à l'affaire.
Dans l'intervention sociale, il / travailleur / a social a une grande responsabilité, va transformer le dialogue, la narration de la vie de façon positive. Pour ce faire, utilisez l'histoire intégrant parfaitement l'histoire du sujet, permettre leur histoire et leur propre récit lui-même est ce qui donne sens à l'être, une personne, les expériences, les souvenirs et la formation de soi.
"Le moment de l'entrevue est l'espace dans lequel notre profession (travail social) entend et connaît les histoires familières sur la réalité que ses membres se rapportent. Le déclencheur peut alors co-construction d'une histoire re-re-signifié et signifiant ou uchronie dans laquelle les deux parties ont contribué "(Contreras, 2006, p. 151). Donc l'histoire servira un modèle interprétatif de la réalité où les gens vivent.
Aussi, dans l'histoire personnelle de chaque personne, dans chaque cas, le professionnel doit positivize cours narrative et faire une croix capacités des utilisateurs de lecture / a. Cette vision et de la narration, de la reconstruction personnelle et sociale seront travailleur / a sociale de savoir comment ce est la réalité. Cette méthodologie narrative permettra au personnel d'élaborer un principe de réflexivité et la capacité de développer des idées imaginent être et d'agir (Contreras 2006).
Frankl (1988, p. 8) la différence entre les différentes formes de la névrose, il appelle l'un d'eux «névrose noógena» et se caractérise principalement "sur l'incapacité du patient à trouver un sens et sens de la responsabilité pour sa propre existence." La tâche du récit travail social est d'aider les utilisateurs / en ce sens de découverte et de sens de la responsabilité à son histoire, sa vie.
Dans cette argumentation travailleur / a social offre la possibilité de rechercher dans l'utilisateur la possibilité de trouver un sens et le sens de la responsabilité de leur propre vie et de l'existence développement des compétences internes en utilisant les ressources internes et externes de support.
Élaborant sur cet aspect, de reconstituer les faits, reconstruire la personne qui donne lieu, ce est à partir de là, les faits et les sens pour trouver la personne à qui nous devons commencer à récupérer ou de favoriser l'intégration sociale de / en Utilisateurs du travail social. Les deux stratégies, la reconstitution des faits et donner lieu à la personne qui a besoin au sein de l'histoire, dans son histoire personnelle, souffre de quelques propres errances dans l'intervention professionnelle. Une tendance professionnelle est d'automatiser les interventions ne donnant pas juste place histoire personnelle / que les utilisateurs / as.
"Les histoires qu'ils donnent la vie des gens intentionnés sont, dans la grande majorité des cas, positifs, mais ils peuvent aussi être destructrice" (Abels et Abels, 2004, p. 71). Dans le cas que nous trouvons des histoires qui donnent un sens à la vie, liée à des aspects négatifs et destructeurs, traumatiques ... le / professionnel doit travailler cette histoire à positivize cette vision qui a le / travailleur / a social se / a, l'environnement, la famille, ...
Pour ce faire, l'enquête et la transformation de l'histoire, le récit de l'expérience sont des tâches des travailleurs sociaux comme des cibles dans le processus d'intervention. Cette transformation doit positivize les différents éléments qui la composent à travers l'utilisation de l'appui à l'intervention à travers l'écoute.
Ce est pour cette raison que récit personnel rend reprendre le contrôle de leurs vies et leurs actions, permet à cette méthode narrative est un défi majeur pour le travail social du présent et du futur. Trouver une nouvelle voie à des problèmes sociaux qui se posent est le but de trouver un sens de l'intervention professionnelle.
"Ceux qui ont le pouvoir sur l'histoire qui domine leur vie, le pouvoir de le redire, repenser, reconstruire la taquiner et le changement comme les temps changent, en effet impuissants parce qu'ils ne peuvent pas penser à de nouvelles choses» ( Rushdie, 1991, p. 480). puissance d'exercice et de contrôle sur leur propre vie est la chose la plus important de se sentir un être humain, sentant sa propre vie.
Il / travailleur / a sociale devrait travailler avec les histoires de culpabilité et d'établir des stratégies positivizadoras questionnement et démontage sur des prémisses différentes sur lesquelles reposent.
Pour montrer à l'utilisateur que le problème est capable de contrôler, de diriger sa vie et de la famille, d'un groupe ou d'une communauté et comment son histoire et les influences autre problème est le début de l'intervention.
En ce sens, en utilisant une méthodologie réflexive est basée sur une intervention basée sur la narration personnelle. Assurez conscient qu'il, vous êtes l'expert de votre besoin et les circonstances font partie de la base angulaire d'intervention fondé sur cette méthodologie.
Sur la base de l'argument ci-dessus, de reconstituer l'histoire, nous pouvons trouver l'endroit où l'utilisateur a oublié certaines parties, en particulier dans les groupes à risque d'exclusion sociale, la vulnérabilité et l'exclusion sociale, mais peut-être ces oublis sont nécessaires et probablement pas le plus important de la situation à laquelle il intervient.
Le plus important par le travailleur social est raconter, donner et trouver un sens à l'histoire personnelle. Ces histoires et des reconstitutions d'événements élaboreront des stratégies souples permettant aux utilisateurs.
Nous devons trouver «des moyens plus efficaces pour aider les gens à la fois à leurs préoccupations sociales et émotionnelles qui relient leur vie quotidienne à ces changements, nous avons découvert que la pratique narrative propose une approche de travail social qui soutient la recherche de la signification des choses et l'avenir que les gens veulent "(Abels et Abels, 2004, p. 65-66). La perspective narrative donne de l'importance au contexte, les différents rôles qui peuvent se produire dans une société et le sens qu'il donne à ses propres joueurs.
Dans le processus d'intervention qui se produit dans le rapport de l'aide dans le travail social récit, il / travailleuse sociale aidera l'utilisateur / aa enterrer son passé, des événements négatifs que la torture et déterminent leur avenir, alors allez construire une nouvelle histoire, une nouvelle histoire à partir du potentiel de chaque personne et chaque cas.
Selon Wilkinson (2005, p. 1252) "préconise la centralité conceptuelle du récit dans notre compréhension du monde social, l'identification ontologique du récit poursuit le rôle à jouer dans l'élaboration de notre identité." Le récit va faciliter la formation de la nouvelle identité dans le processus de l'intervention sociale.
Ainsi la construction de notre identité personnelle fait partie du grand projet biographique qui par réflexe un récit actuel de "I" (Bagguley, 1999) se produit.
"La quête de l'homme sens de la vie est une force primaire et pas un« rationalisation secondaire »de ses pulsions» (Frankl, 1988, p. 98). Trouvez la signification fait partie de soi-même, ce est précisément approprié d'intégrer le récit, la recherche d'un sens à l'intervention sociale.
Certains auteurs soutiennent qu'il fait partie d'un "mécanisme de défense" la quête de sens, mais il ne faut pas se arrêter là d'être un mécanisme de défense une, je pense que cela va au-delà d'un simple mécanisme de défense. Je voudrais ajouter que partie de quelque chose existentielle et vitale, il fait partie d'un «tout» pour l'humanité.
Le sens facilite l'intégration et l'acceptation de soi-même dans un contexte. Par "parfaitement logique" et au début et même tout au long de l'histoire, nous avons vu l'homme est capable de se battre et de perdre leur vie si nécessaire de chercher le principe de "sens". Et grâce à ces luttes que nous sommes où nous sommes, dans une liberté qui parfois peut-être ne est pas encore combattu trop longtemps et nous devons continuer la lutte contre la recherche de sens.
Selon le scénario de Vidal (2009, p. 142) «la perspective narrative nous oblige à être attentif aux personnes et les histoires sont inséparables des personnes et des événements qui mis en scène".
"Tous situation de vie représente un défi pour l'homme et pose un problème que lui seul doit résoudre» (Frankl, 1988: 108), ils soutiennent les professionnels, le soutien, sont une ressource clé dans l'intervention «d'aider l'homme" répondre à leurs questions de sens et de sentiment. Que pour obtenir que le démarrage du processus est d'avoir le soulagement de l'utilisateur comme un processus initial dans le développement de compétences d'intervention pour créer ce climat que nous appelons empathie.
"Quand nous vivons, les choses se passent pour nous, mais quand nous faisons nous allons; et ce est précisément ce que tiennent les rênes du sujet lui-même, est l'essence de tout récit, son attrait et de sa nature hétérogène des événements ou des émotions visées »(Martin, 1982, p. 22).
L'individu doit faire "trouver un partenaire rêvé" grâce à son auto-narration, qui est, "compté" se est d'abord pour cela plus tard "count" à un partenaire potentiel est dans ces autres recherches où les utilisateurs / que doit se trouver / elle-même, ou a bien trouver ce qui "ont toujours été à la recherche."
Le conteur, la personne qui raconte son histoire doit tenir, qu'on le veuille ou pas, les limites imposées par la réalité environnante ou vécu, est limitée dans de nombreux cas par leurs expériences et de la lecture de ces faits.
Le récit nous dit non seulement l'origine du rapporteur, mais également le bénéficiaire à qui il est ordonné que l'histoire (Vidal, 2009). Selon dont le compte est dirigé élaborée dans une manière ou d'une autre, donnant le sens que nous espérons pour l'autre (Martin, 1982).
Aussi garder à l'esprit que d'une intervention dans une perspective narrative du travail social, "se soucie non seulement de savoir qui et comment dire les choses, mais comment et qui est à l'écoute» (Vidal, 2009, p. 143).
CONCLUSIONS
L'intervention narrative donne un aperçu de développer et de récupérer le «vide intérieur» de certaines personnes ou groupes. Donner contenu, les stratégies et les compétences nécessaires pour / que les utilisateurs / le travail social, de surmonter et de rendre les gens conscients que possèdent leurs propres responsabilités, soulignant que le présent est parti et ont encore le temps de changer et de rectification le dernier bâtiment de l'ici et maintenant pour l'avenir. Les gens auront donc face à vous, ce que vous avez construit, ce qu'ils croient eux-mêmes et de leur vie.
Nous aurons à développer des compétences et des stratégies professionnelles pour trouver le sens de la souffrance, les difficultés et être en mesure de se appuyer sur ce sens, le développement approprié pour sens à la vie et les événements qui se produisent à des attitudes.
Le développement des compétences et capacités personnelles couvrira le vide existentiel de sens et de sens dans les gens, les individus, les groupes et les communautés à travers l'intervention sociale.
Le travailleur social d'une approche narrative, histoires de travail et de récits personnels que chaque personne effectue sa propre histoire car elles déterminent qui nous sommes et ce que nous sommes venus à croire à propos de eachother / que / au fur et autres . Cette approche est essentielle pour travailler à l'individu, famille, groupe et le niveau de la communauté pour changer la vision que nous avons des choses et des problèmes.
Cette pratique narrative en travail social est très utile pour reconstruire l'histoire personnelle de personnes dans l'exclusion sociale, le risque ou la vulnérabilité de trouver la signification de lien entre la personne, le processus, le contexte et le temps. Étant extrêmement important de développer la capacité de contrôler les pensées et les actions. De cette perspective, il peut travailler la vision et de la perception de soi, des autres et de la réalité.
Quand les gens sont en mesure de voir et d'analyser la réalité dépouillée de toutes les illusions acquérir sens de l'être "nu mentalement» offrant non protégé son plus intime, plus faible et exposée au désespoir, la dépression ou même le suicide.
Analyser la réalité du point de vue des personnes, illusions acquérir un autre sens à être protégés contre la vulnérabilité personnelle et sociale optimisme récupération.
L'utilisation de techniques de réflexion dans narrative intervention de la pratique aidera les utilisateurs à aller retravailler leur histoire personnelle et sociale de donner un sens, pour expliquer les événements qui composent son histoire et de trouver leur place dans la société.
Doivent être retirés dans le processus d'intervention de la victimisation, la personne doit reconstruire le processus d'exclusion. Pour ce faire, la vue topologique comprend des visions partagées, le sujet a à vouloir quitter, a vouloir être le protagoniste, la responsabilité de soi, la participation à une autre intervention est cruciale. Les gens ont le droit de faire des erreurs pour apprendre.
LES RÉFÉRENCES
Abels, P. y Abels, S. L. (2004). Trabajo Social narrativo con grupos. En: Henry, S., East, J. y Schmitz, C. (Coords.).
Trabajo Social con Grupos. Modelos de intervención. Madrid: Ediciones Narcea.
Bagguley, P. (1999). “Beyond emancipation? The reflexivity of social movements”, in M. O'Brien, S. Penna and C.
Hay (Eds), Theorising Modernity. London: Longman.
Contrera, V. (2006). La narrativa en Trabajo Social: entrevista familiar como espacio de re‐construcción de relatos.
Revista Tendencia & Retos, 11, 143‐151.
Cyrulnik, B. (2006). Los patitos feos. Barcelona: Gedisa.
Delage, M. (2010). La resiliencia familiar. Barcelona: Gedisa.
Frankl V., E. (1988). El hombre en busca de sentido. Barcelona: Editorial Herder.
Martín G., C. (1982). La búsqueda de interlocutor y otras búsquedas. Barcelona: Editorial Destino.
Martín G., C. (1985). El cuento de nunca acabar. Barcelona: Editorial Destino.
Rushdie, S. (1991). Lecture: One Thousand Days in a Balloon. New York Times, 12 December.
Vidal F., F. (2009). Pan y Rosas. Colección de Estudios. Cáritas y Fundación Foessa. Madrid.
White, M. y Epston, D. (1993). Medios narrativos para fines terapéuticos. Barcelona: Paidós Terapia Familiar.
Wilkinsom, T. (2005). Social Work and narrative Ethics. British Journal of Social Works, 35, 1249‐1264. doi:10.1093/bjsw/bch242.
|