Titre | Les collaborations intersectorielles pour réduire le risque lors de situations de violence entre partenaires intimes : Perspectives des survivantes | Contacter |
---|---|---|
Auteur(s) | LALANDE célyne | |
Thème | ||
Type | Analyse d'expérience : d'intervention, de formation, de recherche... |
Résumé |
---|
Les collaborations intersectorielles pour réduire le risque lors de situations de violence entre partenaires intimes : Perspectives des survivantes En raison de la complexité de la problématique de la violence entre partenaire intimes (VPI) et des nombreux acteurs pouvant être impliqués auprès des personnes qui en sont aux prises, il existe un large consensus sur le fait que les pratiques collaboratives favorisent une meilleure réponse à ces situations (Gouvernement du Canada, 2014 ; Laing et al., 2018 ; Magruder, 2017 ; Stylianou & Ebright, 2021). Ces pratiques ont le potentiel d'être plus complètes et cohérentes pour répondre aux besoins distincts des différents membres d’une famille aux prises avec la VPI (Lessard & Alvarez-Lizotte, 2015). Elles peuvent également initier des changements systémiques en orientant des organisations ayant des positions philosophiques différentes vers un objectif commun (Stylianou & Ebright, 2021). En outre, les pratiques collaboratives sont considérées comme essentielles pour assurer la sécurité des victimes de VPI car elles sont plus efficaces pour réduire les risques (White & Sienkiewicz, 2018). |
Bibliographie |
---|
Gouvernement du Canada, (2014). Making the links in family violence cases: collaboration among the family, child protection and criminal justice systems. https://www.justice.gc.ca/eng/rp-pr/cj-jp/fv-vf/mlfvc-elcvf/index.html |
Présentation des auteurs |
---|
Célyne Lalande, Ph.D., t.s., professeure au département de travail social de l'Université du Québec en Outaouais. Ses intérêts portent sur la collaboration professionnelle, la violence conjugale et l'intervention sociojudiciaire. |
Communication complète |
---|
En raison de la complexité de la problématique de la violence entre partenaire intimes (VPI) et des nombreux acteurs pouvant être impliqués auprès des personnes qui en sont aux prises, il existe un large consensus sur le fait que les pratiques collaboratives favorisent une meilleure réponse à ces situations (Gouvernement du Canada, 2014 ; Laing et al., 2018 ; Magruder, 2017 ; Stylianou & Ebright, 2021). Ces pratiques ont le potentiel d'être plus complètes et cohérentes pour répondre aux besoins distincts des différents membres d’une famille aux prises avec la VPI (Lessard & Alvarez-Lizotte, 2015). Elles peuvent également initier des changements systémiques en orientant des organisations ayant des positions philosophiques différentes vers un objectif commun (Stylianou & Ebright, 2021). En outre, les pratiques collaboratives sont considérées comme essentielles pour assurer la sécurité des victimes de VPI car elles sont plus efficaces pour réduire les risques (White & Sienkiewicz, 2018). |
Résumé en Anglais |
---|
|