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Organisation générale

Lieu du congrès

Le 8ème congrès de l’AIFRIS se déroulera à
l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ),
au Campus des sciences humaines (CSH),
Rue de Damas

Le lieu du congrès est au cœur de Beyrouth, près de l’Ambassade de France au Liban. Il rallie l’utile à l’agréable de par sa proximité du centre-ville au visage pluriel, du musée national et des rues Badaro, Gemayzé et Mar Mikhâel où les restaurants sont nombreux et la vie nocturne super-animée ! Le climat étant chaud et humide au mois de juillet, rassurez-vous : pour les adeptes de la fraicheur, toutes les salles à l’université sont climatisées, pour les adeptes du soleil, l’espace-jardin du campus est à leur disposition !


Visa

Pour rentrer au Liban, il faut un passeport valable au moins 6 mois après la date de retour (attention, il ne doit pas porter aucun visa ou tampon d'Israël) et un visa.

Pour les détenteurs d'un passeport européen, un visa touristique pourrait être obtenu dès l'arrivée à l'aéroport Rafic el Hariri de Beyrouth. Toutefois, il serait plus judicieux de se reférer au Consulat ou Ambassade libanaise présente dans votre pays.

Pour les autres types de passeports, prière de se reférer obligatoirement au Consulat ou Ambassade libanaise de votre pays.

Billets d’avion

Pour bénéficier des meilleures offres, il est de rigueur de réserver vos billets d’avion bien à l’avance; le mois de juillet annonce des vacances et donc une haute saison pour les compagnies aériennes.

Quant aux modalités d’obtention d’un visa pour le Liban, prière de se référer au Consulat ou Ambassade libanaise dans votre pays.

Transport de l’aéroport vers votre destination

Pour votre déplacement de l’aéroport vers votre destination, nous vous conseillons vivement d’opter pour les taxis (et moins pour les transports en commun).

Il y a les taxis de l’aéroport qui se trouvent normalement dehors à la sortie du hall d’arrivée. Ceux-ci sont les plus pratiques mais évidemment les plus chers.

Une fois à l’aéroport, vous devriez être en mesure de vous connecter au wifi gratuit pendant 30 min, vous pourrez donc réserver un taxi en utilisant l’application Uber.

Vous pouvez réserver un taxi à l’avance avec une compagnie privée en les appelant et en demandant un taxi spécifique à une heure spécifique. Il peut soit vous attendre à l’intérieur du hall avec votre nom, soit vous attendre dehors dans le parking extérieur (et non pas en file à la sortie du hall, vous devez alors le rejoindre).

Vous pouvez appeler la compagnie de taxi privée à votre arrivée à l’aéroport pour leur dire que vous venez d’arriver et que vous avez besoin d’un taxi dans 50 min par exemple, le temps que vous sortez les bagages, douane etc…, il sera arrivé.

Si vous choisissez les options 3 ou 4 (d’ailleurs recommandées), voici quelques compagnies de taxi que vous pourriez contacter :
Ready taxi : + 961 1 397993 ou + 961 3 761767
Queen taxi: + 961 1 423340
Badaro taxi: + 961 1 384678 ou + 961 3 286027

Pour le même trajet, le prix du taxi au Liban est généralement moins cher qu’en Europe.

Monnaie utilisée au Liban

Les commerçants libanais acceptent aussi bien la livre libanaise (LL) que le dollar américain (USD). Le taux de change est d’environ 1USD pour 1500 LL. On vous rendra donc la monnaie parfois en LL, parfois en USD. En revanche, les institutions officielles n’acceptent que la LL comme moyen de paiement.




 


Beyrouth 2019
8ème congrès de l'AIFRIS

Sociétés plurielles, Travail social
et Vivre ensemble

(2 - 5 juillet 2019)

Montréal 2017


Quoi de plus significatif que Beyrouth pour cristalliser au mieux cette thématique devenue à l’heure actuelle une réalité mondiale ? Cette ville du Proche-Orient dans sa pluralité d’appartenances religieuse, communautaire, culturelle, et malgré ses vagues de crises successives, ne cesse de manifester dans ses rues et ses places la mémoire du vivre ensemble libanais. C’est à Beyrouth où cohabitent églises et mosquées, où s’exprime le multilinguisme, où l’histoire des civilisations transperce les ruines de la guerre et le modernisme de la reconstruction. Chers lecteurs et lectrices, Beyrouth s’apprête à vous recevoir, à bras ouverts sur la Méditerranée orientale. Il est vrai qu’elle se situe dans l’instabilité constante mais réussit toujours à trouver son équilibre. Comme l’a si bien dit A.Corban, elle est « tel un bateau qui vacille en mer au milieu de la tempête et qui, cependant, ne chavire pas ». En effet, qu’elle soit martyre ou souffrante, Beyrouth demeure cette ville vivante qui ne donne pas lieu à l’indifférence. [ extrait de l'Édito La Lettre n°36 ]